dimanche 31 mars 2013

Envoyer un sms gratuitement par Internet

Envoyer un SMS sur le portable de votre ami(e) alors que vous n’avez plus de crédit ? Possible ! Futura-Sciences vous fait faire des économies !

Plus besoin de mobile. Il existe un grand nombre de sites proposant l’envoi gratuit, ou à très bas prix, de SMS. Bien sûr, les textos ne partent pas de votre téléphone, mais il faut vous connecter sur le site proposant le service et le SMS transitera par Internet. Un mail vous alertera quand vous recevrez une réponse de votre interlocuteur.
Étapes pour envoyer des sms gratuitement
Généralement, les sites qui proposent l'envoi de SMS gratuits vous font procéder comme suit :
  • s’inscrire sur le site ;
  • à cette occasion, vous bénéficiez la plupart du temps en cadeau de bienvenu d’un lot de SMS totalement gratuits ;
  • ensuite, il y a des formules, permettant d’envoyer gratuitement un certain nombre de textos par jour, ainsi que des abonnements à très bas prix.

Quelques exemples de sites
On trouve aussi des sites « marginaux » et offshore proposant l’envoi totalement gratuit et illimité, mais leur fiabilité est incertaine.

Installer deux écrans sur mon PC ?


Si vous avez assez de place sur votre bureau et si vous accordez de l'importance à votre confort visuel lorsque vous travaillez, brancher un second écran sur votre micro peut se révéler une solution économique. En effet, un vieux moniteur (dans certains cas, un vieux téléviseur) fera très bien l'affaire plutôt que d'acheter un 21 pouces hors de prix.Pour éviter de passer d'une fenêtre à l'autre quand vous avez ouvert plusieurs applications et garder toujours à l'oeil un même document, l'affichage sur double écran est le moyen le plus approprié. En multipliant par deux la surface de vision, il garantit une amélioration bien supérieure à une migration vers un moniteur d'une plus grande diagonale.Mais une telle installation n'est pas possible sur tous les PC. En effet, la carte graphique doit disposer de deux entrées VGA, ce qui est de plus en plus courant chez les deux principaux constructeurs ATI et nVidia.


La marche à suivre
Commençons par identifier les modes de connexion. Il existe deux types de prises pour brancher un moniteur, la prise VGA et la prise DVI. Vous retrouverez plus souvent la première. Votre carte graphique doit proposer deux connecteurs VGA (photo) ou un VGA et un DVI (plus rarement deux DVI).















Une fois les branchements effectués, redémarrez votre PC pour être assuré que votre ordinateur reconnaisse le nouveau matériel. Faîtes un clic droit sur le bureau et activez ses Propriétés. Déplacez-vous ensuite dans l'onglet Paramètres.
Si vous utilisez une carte nVidia, vous allez être aidé dans votre configuration par l'Assistant Affichage. Quatre réglages sont disponibles : le mode Unique, qui n'utilise qu'un écran, le Dual View, grâce à qui les moniteurs sont autonomes (deux applications différentes s'affichent), le mode Etendu, qui offre une vision panoramique en étirant l'image sur les deux écrans et le mode Clone, qui reprend les mêmes images sur les deux moniteurs.
Les pilotes nVidia se révèlent les plus ergonomiques, avec des réglages simplifiés et très parlants. La socitété Ati a choisi une autre organisation. Par défaut, l'affichage est en mode Clone : les deux écrans affichent la même chose.
Après avoir cliqué sur Avancé (de l'onglet Paramètres), une fenêtre avec une multitude d'onglets apparaît. Cliquez sur Superposition, le mode théâtre permet de consacrer l'un des moniteurs à la diffusion de vidéos. C'est l'équivalent du mode Dual View. En effet, la mémoire vidéo étant divisé par le nombre d'écran, l'affichage simultané du même film ne peut se faire sur les deux moniteurs.
Pour obtenir une image élargie répartie sur les deux écrans, la manipulation est plus évidente. Dans l'onglet Paramètres, cliquez sur l'écran n°2 et sélectionnez Etendre le bureau Windows à ce moniteur, comme ci-dessous.




Attention, toutefois, certains programmes ne permettent pas le double affichage. C'est le cas notamment de certains jeux.

Comment Enregistrer une cassette VHS sur le disque dur d'un PC

Voici comment procéder pour numériser vos cassettes VHS en vue d'un montage ou d'une gravure.







Matériel nécessaire
Un magnétoscope VHS : pour lire la source à enregistrer.
Une carte d'acquisition vidéo : pour convertir le signal analogique en données numériques.
Un ordinateur PC ou Mac "musclé" : pour stocker les images en provenance de la source et les traiter.
Des câbles et/ou adaptateurs : nécessaires pour relier le magnétoscope à l'ordinateur.


La carte d'acquisition
Il existe de nombreuses cartes d'acquisition sur le marché (Pinnacle, Miro, Terratec, Canopus, ADS …), dont les prix s'étendent de 100 à plus de 1000 euros selon les options, performances et logiciels fournis (pour acquisition et montage).









On les trouve sous deux formes :

- Carte au format PCI (AGP s'il s'agit d'une carte multifonction graphique et acquisition) qui nécessite l'ouverture de votre micro pour son installation, ou boîtier externe qui se branche sur port USB ou Firewire.

Le boîtier externe est la solution la plus simple à installer, mais pas forcément la plus performante si on utilise par exemple de l'USB 1.1 (nettement moins rapide qu'une carte interne au format PCI).

Les différences de prix s'expliquent aussi par la qualité des convertisseurs analogiques-numériques utilisés, qui impactent directement la qualité d'image finale. A vous de juger des performances dont vous avez besoin.

Il faudra choisir votre carte selon le type de matériel que vous souhaitez y raccorder, l'option la plus intéressante étant de choisir un système offrant plusieurs possibilités de branchement, afin de garantir une certaine évolutivité.

La solution la plus simple consiste à acheter un produit tout-en-un, comprenant logiciels et carte d'acquisition externe "multi-prise", pour environ 250 €.

L'ordinateur
Le traitement de la vidéo est une opération très gourmande en ressources, et les calculs tels ceux mis en oeuvre pour réaliser la compression (passage en format DivX par exemple) peuvent prendre facilement plusieurs heures.

Le stockage prend également beaucoup de place, mais dépend de la carte d'acquisition utilisée : comptez environ 1 Go pour 5 minutes de vidéo analogique en qualité maximale.

Nous vous recommandons la configuration minimum suivante : un processeur à 1 GHz et 256 Mo de RAM, une carte graphique équipée de 32 Mo de mémoire, ainsi qu'un gros disque dur ou une partition dédiée à la vidéo. Il devra être équipé de ports USB ou Firewire.

Si le Firewire est suffisamment rapide pour la vidéo, l'USB 1.1 est très lent. Seul l'USB 2.0 peut rivaliser avec le Firewire pour les solutions d'acquisition externes. Enfin, si vous envisagez l'achat d'un caméscope numérique, la prise Firewire (ou IEEE 1394) est indispensable : c'est elle qui permettra à l'ordinateur de piloter le caméscope.

Le magnétoscope et la connectique
Avant d'acheter votre carte d'acquisition, vérifier les standard et connectique de votre magnétoscope. Ce sont eux qui détermineront les caractéristiques dont vous aurez absolument besoin.

Première chose à vérifier, le standard : PAL ou SECAM ? Les magnétoscopes sont multi-système depuis plusieurs années, mais il se peut que le vôtre ne fonctionne qu'en SECAM (standard français). Vérifiez dans ce cas que la carte d'acquisition supporte ce format.

Ensuite, la connectique : Péritel, RCA, S-Vidéo ? Dans le cas très répandu d'une prise Péritel, il vous faudra acheter un adaptateur Péritel - RCA Composite ou Péritel - S-Vidéo, ainsi que le câble correspondant pour relier la carte au magnétoscope. On trouve également des câbles ne nécessitant pas d'adaptateur.

Sachez que les câbles RCA rouge et blanc acheminent le son. C'est le type de câble qui offre la meilleure qualité d'image à partir d'un magnétoscope Péritel.

Comment procéder ?
Une fois le matériel rassemblé, il reste à tout brancher. Une première astuce si le signal sort par une prise Péritel : optez pour un adapteur S-Vidéo qui offre une meilleure qualité d'image que l'adaptateur composite. Et choisissez une carte d'acquisition dotée d'une entrée S-Vidéo.

Vous êtes prêt à enregistrer !

Nous n'allons pas ici détailler le processus logiciel, qui dépend bien évidemment du logiciel livré avec votre carte d'acquisition.

Mais vous pourrez également utiliser Windows Movie Maker 2, fonctionnant avec Windows XP et disponible gratuitement sur le site de Microsoft ; ou bien iMovie si vous êtes propriétaire d'un Mac.

Voici un rapide aperçu de la marche à suivre avecWindows Movie Maker 2 :

- Démarrez le logiciel ;
- Connectez le magnétoscope à la carte d'acquisition, allumez-le ;
- Lancez "L'assistant de capture vidéo" (Barre d'outils > Tâches > Tâches de la vidéo > Capturer la vidéo > Capturer à partir du périphérique vidéo) ;
- Indiquez au logiciel la source vidéo à enregistrer : un magnétoscope VHS analogique ;
- Dans la liste "Périphériques disponibles", choisissez votre carte d'acquisition ;
- Dans la liste "Source de l'entrée vidéo", indiquez la prise de la carte d'acquisition par laquelle va passer le signal (S-Vidéo ou RCA Composite) ;
- Cliquez sur le bouton "Configurer" pour régler le format (PAL, SECAM, NTSC), la taille d'image que vous souhaitez obtenir (largeur et hauteur en pixels), le nombre d'images par seconde, etc. ;
- Choisissez un nom et un emplacement pour le fichier qui va résulter de l'acquisition ;
- Cliquez sur suivant en gardant l'option "Qualité optimale pour la lecture sur mon ordinateur" (l'autre option est destinée aux caméscopes numériques) ;
- Positionner la bande VHS à partir de l'endroit où vous voulez démarrer l'enregistrement ;
- Notez qu'à cette étape vous pouvez indiquer la "Limite de la durée de capture", bien utile si votre espace disque est limité ;
- Cliquez sur "Démarrer la capture", appuyez sur le bouton "Play" de votre magnétoscope ;
- Une fois la séquence voulue capturée, "Arrêter la capture".

Vous voilà avec un fichier vidéo de taille respectable au format WMV, lisible dans Windows Media Player. Le procédé est commun à tous les logiciels permettant la capture vidéo, à quelques détails près.

Si vous souhaitez passer cette vidéo dans un autre format, il faudra utiliser un logiciel de conversion. Il existe de nombreux shareware et freeware sur le web, comme Stoik Video Converter (pour PC).

Si celui-ci ne vous convient pas, une simple recherche de "video converter" sur un moteur quelconque vous donnera un aperçu du nombre de logiciels disponibles.

Libre à vous de l'utiliser comme bon vous semble : gravure sur CD, VCD, SVCD ou DVD, pour pouvoir le lire dans une platine de salon par exemple.

Vous pouvez également le conserver sur votre disque dur, et le compresser au format DivX pour gagner de la place.

Sachez enfin que Windows Movie Maker et iMovie incluent des fonctions de montage, ce qui vous permettra de choisir certaines scènes, changer leur ordre, ajouter des textes ou des effets de transition, comme un pro !


Comment Calculer la longueur d'un itinéraire avec Google Earth


On ne présente plus le logiciel Google Earth qui cumule les rôles de guide de voyage et de fond cartographique. A côté des tous les services déjà rendus, ce programme est également capable de calculer la longueur d'un itinéraire. Une fonctionnalité méconnue, plutôt sympathique.
 La "règle" est un outil qui permet de mesurer la distance parcourue entre 2 points, à n'importe qu'elle échelle : locale, régionale ou nationale. Une fonction appréciable pour tous les randonneurs et tous les marcheurs mais aussi tout simplement pour satisfaire sa curiosité au quotidien.
Quelle est la distance entre le pas de ma porte et la boulangerie ? Pas de problème, j'ouvre Google Earth et sollicite le menu outils pour afficher la règle:



 La fenêtre volante "règle" possède deux onglets : ligne, qui permet uniquement de mesurer une distance "à vol d'oiseau" et trajet, qui permet de construire un itinéraire complexe, en plusieurs points. C'est celui-ci  que nous allons sélectionner ici. Dernière étape, le choix de l'unité de mesure, prenons les mètres, pour un court trajet.



 Le curseur change d'apparence et il ne reste plus qu'à reconstituer l'itinéraire en cliquant successivement avec le bouton gauche de la souris. La distance est actualisée en temps réel.



Conclusion : je marche environ 453 m pour aller jusqu'à la boulangerie la plus proche !

Protéger ses mots de passe sous Windows avec Keepass Password Safe


Keepass Password Safe peut faciliter la gestion et la protection des mots de passe entre plusieurs applications, voire ordinateurs, qui peut rapidement devenir problématique. La difficulté de choisir la voie de la sécurité en définissant plusieurs mots de passe, au moins un par service, est de tous les retenir. À moins de déterminer un modèle simple et (aisément) devinable, le seul moyen est de les noter pour y avoir un accès rapide. De nombreuses solutions, plus ou moins sûres, sont disponibles sur Windows. Keepass Password Safe est l’une d’entre elles, ayant l’avantage d’être simple à l’emploi et libre de droits.
Téléchargez la dernière version du logiciel (2.x) sur le site officiel de Keepass Password Safe, puis installez-la. Pour plus de sécurité, vous pouvez empêcher l’application de s’associer aux fichiers .kdbx, contenant les mots de passe. Une fois l’application installée, démarrez-la. Au lancement, validez la recherche automatique de mise à jour, qui s’assure que le logiciel est protégé contre toutes les failles connues.
Créer un fichier pour protéger les mots de passe avec Keepass
Cliquez ensuite sur l’icône « New », dans la barre d’outils. Sélectionnez l’endroit où créer le fichier .kdbx, votre Bureau par exemple, avant de le déplacer dans un endroit plus discret. Il faut maintenant définir la méthode pour protéger les mots de passe contenus dans le fichier.
La manière recommandée est de faire appel à un mot de passe, que vous pourrez reproduire sur n’importe quel PC. Préférez-le sûr, assez fort pour remplir aux deux tiers la barre d’évaluation de sa sécurité. Le logiciel vous propose également d’utiliser un fichier clé (généré aléatoirement) ou de le lier à votre compte Windows, ce qui le rendra inaccessible sur un autre PC ou si vous perdez votre compte utilisateur. À utiliser si vous êtes vraiment sûr(e) de la pérennité de votre installation de Windows. Validez enfin les paramètres de sécurité.
Si vous optez pour le fichier clé, assurez-vous de le placer à un endroit qui ne soit pas facilement accessible. Sa génération dépend d’un texte que vous entrez, de préférence des caractères aléatoires.
Si vous optez pour le fichier clé, assurez-vous de le placer à un endroit qui ne soit pas facilement accessible. Sa génération dépend d’un texte que vous entrez, de préférence des caractères aléatoires. © Guénaël Pépin
Ajouter et éditer des mots de passe grâce à Keepass
Vous êtes maintenant sur l’interface principale du logiciel. Plusieurs mots de passe et catégories par défaut, apparaissant dans le menu de gauche, sont intégrés au fichier. Un simple clic droit sur les éléments puis la sélection de la ligne « Delete » vous permet de vider le fichier de ses mots de passe et catégories inutiles. Les éléments sont placés dans une corbeille, que vous pouvez vider par la suite.
Pour ajouter un mot de passe dans une catégorie, effectuez un clic droit sur le fond de liste et sélectionnez la ligne « Add entry… ». Un menu de création apparaît. Aucun des champs n’est obligatoire, sinon celui contenant le mot de passe. Vous pouvez renseigner un nom, y associer un identifiant utilisateur (celui sur le service auquel est lié le mot de passe), l’adresse du site et, bien entendu, quelques notes. Les utilisateurs avancés peuvent profiter des autres onglets pour améliorer l’accessibilité de l’entrée.
Un mot de passe autogénéré est directement attribué. Libre à vous de l’utiliser ou d’en imaginer un nouveau, qui sera évalué selon sa force. Le clic sur le bouton « … » vous permet de l’afficher et de le modifier. Il empêche, en revanche, l’écriture dans le champ de répétition : vous ne pouvez pas le copier et coller d’un champ à un autre.
Pour copier un mot de passe de manière sûre, sélectionnez l’entrée souhaitée dans la liste et cliquez sur « Copy Password ». Le mot de passe est ainsi contenu dans le presse-papier pendant 12 secondes, après quoi il est supprimé et de nouveau uniquement accessible par l’application.
N’oubliez pas de sauvegarder régulièrement en cas de modification du fichier. Une modification perdue peut, potentiellement, rendre un service inaccessible s’il ne dispose pas des mécanismes de récupération du mot de passe.

Comment Booter un PC directement sur CD ou clé USB


Il est parfois nécessaire de booter un PC sur CD pour le remettre d’aplomb. De même, les live CD de distribution Linux, tels qu’Ubuntu ou Linux Mint, deviennent des options viables une fois placés sur clé USB et modifiés pour conserver les données. Avant de pouvoir installer Windows (toutes versions) ou Linux, il est nécessaire de configurer l’ordinateur pour permettre leur lancement avant le système d’exploitation. Cela passe par la définition du média amovible souhaité (CD ou clé USB) au démarrage, avant le disque dur principal.
Définir le média amovible au démarrage
Pour configurer cette option, redémarrez votre PC et ouvrez le menu de configuration du BIOS, en appuyant sur la touche indiquée sur le « splash screen » (écran de démarrage), souvent F2. Là, déplacez-vous jusqu’à la catégorie « Boot » (démarrage), en haut de l’écran, à l’aide des touches directionnelles droite et gauche. Une fois dans ce menu, plusieurs possibilités vous sont proposées.
Allez dans la section habituellement intitulée « Boot Device Priority » (priorité des appareils au démarrage) pour configurer l’ordre des éléments au démarrage. Là, vous sont logiquement présentés les « removable medias » (médias amovibles comme les clés USB), « ATAPI CD-DROM » ou « CD-ROM » (pour les médias optiques comme les CD et DVD) ainsi que « Hard Drive », pour le disque dur à placer en dernier. Modifiez ici l’ordre, selon que vous souhaitez démarrer à partir d’un CD (ATAPI CD-ROM) ou d'une clé USB (removable media). L’ordre se modifie à l’aide des touches + et –. Sélectionnez le média à déplacer pour lui donner priorité ou le descendre dans la liste.

Pour booter un PC sur CD ou clé USB, il est préférable de placer le disque dur en dernière position. À noter qu’avec ce réglage, l’ordinateur vérifiera à chaque démarrage les médias USB et lecteurs de disque avant le disque dur principal, ce qui peut allonger ce temps. 
Configurer l’ordre des disques durs
Dans le cas d’une clé USB, un autre menu vous est utile. Une fois l’ordre principal modifié, revenez au menu « Boot » et sélectionnez la ligne suivante « Hard Disk Drives ». Là, vous sont présentés l’ensemble des appareils connectés que le système détecte comme des disques durs. Certaines clés USB démarrables sont détectées comme de simples disques durs.
Dans ce cas, il est nécessaire de les définir en priorité avant le disque dur principal. Pour le définir, sélectionnez la première ligne et appuyez sur « Entrée ». Dans le menu de sélection qui s’ouvre, sélectionnez et validez avec le bouton « Entrée » la clé USB, logiquement précédée de « USB: » (contrairement au disque dur désigné par HDD:). Veillez à bien débrancher tout disque dur externe et clé tierce, avant l’opération, pour ne pas fausser la sélection.
Une fois le bon élément défini, sortez jusqu’au menu « Boot » et déplacez-vous jusqu’à la section « Exit ». Là, validez la ligne « Exit and Save Changes » (sortir en validant les changements) pour sauvegarder les modifications, option également disponible partout dans le BIOS par le bouton F10. Au démarrage suivant, l’ordinateur lancera automatiquement votre CD ou clé USB.

Android : lire des QR codes avec Google Goggles


Les QR codes sont présents dans de plus en plus d’éléments du quotidien (télévision, magazines, publicités…), menant vers des contenus Web divers en quelques secondes. Les smartphones sont le meilleur moyen d’accéder rapidement à ces contenus, par des applications dédiées. Sur Android, Google édite l’application Google Goggles, permettant de reconnaître texte, visages, marques, objets, codes-barres et surtout QR codes. Elle est disponible sur le Google Play Store.
Google Goggles pour lire les QR codes sur Android
L’application téléchargée et l’introduction passée, choisissez le mode Instantané pour analyser votre code. L’application analyse directement l’image et vous mène à l’adresse indiquée. Le mode Continu analyse tout ce qui passe à portée de l’appareil photo et fournit les résultats à la suite jusqu’à ce que vous en sélectionniez un. Il est enfin possible d’effectuer une recherche en chargeant une image présente sur l’appareil, comme le propose désormais Google Images. Vous pouvez également effectuer une recherche à partir de n’importe quelle application supportant les images, Goggles apparaissant dans le menu partage d’Android pour une reconnaissance rapide.
Pour plus de confidentialité, assurez-vous de désactiver l’historique des recherches dans le menu Paramètres et de décocher l’option « Enregistrer dans galerie », qui conserve une copie de tous les clichés pris par Google Goggles sur votre appareil. Vous pouvez en revanche demander l’analyse de l’ensemble des images prises avec l’application Photo d’Android, ce qui nécessite l’activation de l’historique. À vous de choisir entre confidentiel et pratique.

Android : supprimer les traces de navigation (cookies, historique...)


Comme sur PC, les navigateurs des smartphones et tablettes conservent de nombreuses informations sur les habitudes de l’utilisateur : cache, historique, mots de passes, cookies… Autant de données aussi indiscrètes que lourdes sur les espaces de stockage réduits des appareils mobiles. Les principaux navigateurs permettent de simplement supprimer ces données, voire de désactiver leur enregistrement.
Supprimer historique et cookies sur Android
Le navigateur intégré à Android dispose ainsi d’un menu « Confidentialité et sécurité » dans ses Paramètres. De là, en quelques appuis, vous pouvez « Vider le cache », « Effacer l’historique », « Effacer tous les cookies », « Effacer les données de formulaires » et « Effacer les mots de passe ». Sont liées les possibilités de ne plus enregistrer ces informations pour plus de sécurité. De même, il est recommandé de ne pas autoriser la géolocalisation par ce menu.

Pour Google Chrome, rendez-vous également dans les Paramètres, dans la catégorie « Options avancées ». Sélectionnez « Effacer données navigation » puis les données que vous souhaitez supprimer. Vous pouvez également interdire l’enregistrement des mots de passe. Côté Dolphin enfin, allez dans les Paramètres puis « Advanced settings ». Là, choisissez « Clear data » et sélectionnez les éléments que vous souhaitez supprimer. Dans ce même menu d’options avancées, vous pouvez  décider de naviguer sans historique (« Browse without history »).

Protéger sa vie privée sur Firefox et Chrome avec HTTPS Everywhere


La protection de ses habitudes de navigation est devenue un enjeu des plus importants, à l’heure où Internet devient un espace hyperpersonnalisé, régi par la statistique et la traque de l’internaute pour tout connaître de lui. L’un des mécanismes essentiels de cette traque est l’intégration par les sites Web de nombreux services tiers, chargés de suivre un même utilisateur sur tous les sites l’intégrant, pour établir un profil (anonyme ou non) de ses habitudes et enrichir une base de données à même d’aider les décideurs dans la direction ergonomique ou publicitaire à prendre pour le site.
Cette surveillance permanente est permise par deux éléments fondamentaux : la lisibilité du parcours de l’utilisateur et le fonctionnement des services de suivi sur les pages consultées. Voici comment naviguer uniquement sur des sites HTTPS, sur les navigateurs Mozilla Firefox et Google Chrome.
Passer Firefox et Chrome en HTTPS
Beaucoup de grands sites centraux au Web de 2012 (comme Google, Facebook, Wikipédia…) proposent des versions sécurisées, permettant de garantir la confidentialité des données par rapport au réseau et aux services avec lequel le site communique. En passant par le protocole HTTPS, les données sont chiffrées entre l’internaute et le service et, en théorie, impossibles à lire par un tiers qui s’intercalerait entre les deux, contrairement au HTTP classique.

Sur Firefox et Chrome, une extension permet de s’assurer que tous les services disponibles en version HTTPS sont bien utilisées face à leurs versions non sécurisées : HTTPS Everywhere en version stable pour le navigateur de Mozilla et en version bêta pour celui de Google. HTTPS Everywhere est ainsi téléchargeable sur le site de l’Electronic Frontier Foundation (EFF), une association pour les libertés publiques qui le met à jour régulièrement.
L’icône HTTPS Everywhere dans la barre d’adresse de Google Chrome permet de vérifier que toutes les API supportées passent bien par un chemin sécurisé. Pour des raisons de temps de téléchargement, vous pouvez choisir de désactiver le support HTTPS d’un élément particulier.
L’icône HTTPS Everywhere dans la barre d’adresse de Google Chrome permet de vérifier que toutes les API supportées passent bien par un chemin sécurisé. Pour des raisons de temps de téléchargement, vous pouvez choisir de désactiver le support HTTPS d’un élément particulier. 
Télécharger HTTPS Everywhere sur Firefox et Chrome
Pour Firefox, cliquez sur le bouton correspondant sur la page de HTTPS Everywhere. Le navigateur télécharge un fichier d’extension (.xpi) puis vous demande d’autoriser son installation. Permettre l’installation d’une extension hors du catalogue officiel de Mozilla représente en effet souvent un danger. Une fois l’extension autorisée, attendez trois secondes et cliquez sur « Installer maintenant » dans la fenêtre qui apparaît. Redémarrez ensuite le navigateur. Une icône apparaît désormais à côté de la barre de recherche. Vous pouvez vous assurer de son fonctionnement en cliquant dessus et vérifiant la présence de la ligne « Disable HTTPS Everywhere », qui permet de la désactiver.
Sur Chrome, rendez-vous sur la page citée précédemment et cliquez sur l’icône du navigateur de Google. La page mène ici également directement vers un fichier d’extension (.crx) dédié à Chrome. Une barre de téléchargement apparaît en bas, affichant un avertissement. Cliquez sur « Continuer » pour autoriser la récupération. Une fois le fichier téléchargé, cliquez sur « Ajouter » dans la fenêtre modale qui s'affiche au milieu de l’écran. Chrome active ensuite le module sans redémarrage. Une nouvelle icône bleue se trouve dans la barre d’adresse, indiquant que l’extension est bien active et redirige automatiquement vers les versions HTTPS des services.

Xmarks : synchroniser ses marque-pages sur Firefox et Chrome

L'extension Xmarks permet de gérer la synchronisation de ses données, comme les marque-pages. La concurrence entre les navigateurs fait rage et n’a jamais été aussi présente. Tous les mois, une nouvelle version arrive, apportant de grandes nouveautés, des optimisations et de nouvelles fonctions qui peuvent très rapidement devenir indispensables. Pourtant, il devient de plus en plus difficile de choisir entre les navigateurs, tous ayant leurs avantages et limites. L’un des problèmes dans ce cas est de retrouver partout ses données de navigation, notamment les marque-pages, devenus essentiels à la plupart des utilisateurs, qui peuvent se compter par milliers pour les plus anciens des internautes.

Chaque navigateur dispose d’un mécanisme de sauvegarde en ligne de ses marque-pages, des plus libres comme Mozilla Firefox (qui laisse le choix du serveur) aux plus intégrés comme Google Chrome (centralisé sur le compte Google de l’internaute). Il peut être possible d’utiliser Mozilla Firefox sur un PC de bureau puis privilégier Google Chrome sur un portable type netbook, du fait de sa plus grande légèreté. La synchronisation entre ces différents univers n’est pas compatible par défaut, dans aucun de ces cas, bien qu’elle puisse être grandement utile à l’utilisateur exigeant.
C’est à cette limitation que répond l’extension Xmarks, disponible pour quatre navigateurs Web : Internet Explorer, Google Chrome, Mozilla Firefox et Apple Safari, sur tous les systèmes, Windows, Mac et Linux. Le processus est le même peu importe le système utilisé, les extensions ne tenant compte que du logiciel lui-même. Nous allons ici voir l’installation pour Mozilla Firefox et Google Chrome.
Installer Xmarks sur Mozilla Firefox
Rendez-vous sur le site officiel de Xmarks et cliquez sur l’icône Firefox dans la « roue » à gauche de la page. Le site vous mène à une nouvelle page, sur laquelle il suffit de valider le bouton « Download Xmarks ». Firefox vous demandera d’autoriser l’installation d’une extension à partir du site. Dans la fenêtre modale qui apparaît, cliquez sur « Autoriser », avant qu’elle n’expire. Auquel cas, validez une nouvelle fois le bouton sur la page.
Le navigateur télécharge ensuite l’extension et vous demandera de l’installer. Cliquez sur « Installer » en bas de la fenêtre. Firefox sollicitera votre accord pour être redémarré. Validez enfin le redémarrage de Firefox – et l’activation de Xmarks au prochain démarrage – en cliquant sur « Redémarrer maintenant ».
Au redémarrage, Firefox restaurera vos onglets et ouvrira une notification nommée « Bientôt fait ! », destinée à vous aider à configurer votre nouvelle extension. Cliquez dessus. En bas de la nouvelle fenêtre, cliquez sur « Créer un compte ! » qui étendra le formulaire d’inscription. Remplissez tous les champs et validez.
L’initialisation de Xmarks prend quelques minutes par appareil, le temps de rapatrier les données (sur le serveur ou le PC) et d’activer la synchronisation. La désinstallation éventuelle dure quelques secondes.
L’initialisation de Xmarks prend quelques minutes par appareil, le temps de rapatrier les données (sur le serveur ou le PC) et d’activer la synchronisation. La désinstallation éventuelle dure quelques secondes. © Guénaël Pépin
Configuration de Xmarks sur Mozilla Firefox
Votre compte est ainsi créé. Nous passons donc à la configuration du compte. Vous pouvez choisir d’activer plusieurs options que permet déjà Firefox Sync, intégré au navigateur (la synchronisation des onglets ouverts, de l’historique) et de nouvelles options, uniques à la communauté Xmarks, notamment l’évaluation du risque que présente un site visité.
Choisissez enfin de ne conserver, pour cette première installation, que les données du serveur. Pour une prochaine installation sur un autre navigateur, choisissez de fusionner les données ou de ne conserver que celles du serveur, selon vos besoins. L’extension synchronise maintenant les données sur ses serveurs pour les servir plus tard.
Pour configurer l’extension après installation, cliquez sur le bouton Firefox puis allez dans « Modules complémentaires ». Là, cliquez sur « Extensions » puis, à la ligne Xmarks, sur le bouton « Options ». Tous les éléments configurés à l’installation sont disponibles par ce menu. Pour désinstaller l’extension, rien de plus simple : cliquez sur le bouton « Supprimer » puis « Redémarrer maintenant ».
Installer Xmarks sur Google Chrome
La méthode d’installation de Xmarks sur Google Chrome est assez similaire à celle sur Firefox. Sur le site officiel de Xmarks, cliquez d’abord sur l’icône Google Chrome, qui vous redirigera vers le Chrome Web Store, le magasin d’applications Web et d’extensions pour Chrome de Google. Là, cliquez sur le bouton bleu « Ajouter à Chrome » en haut à droite de la page. Cliquez sur le bouton « Ajouter » de la fenêtre qui apparaît (sans délai d’expiration).
L’extension s’installe ensuite dans votre navigateur et vient se loger dans la barre de votre navigateur, à côté de la barre d’adresses. Une notification vous en avertit, sans besoin de redémarrage.
Cliquez sur la nouvelle icône pour ouvrir l’assistant d’installation. Avancez ensuite par le bouton « Suivant », qui mène à une page de choix. Sélectionnez l’option « Non : Me créer un compte » puis avancez par « Suivant ». Une fois le compte créé, vous pouvez commencer à synchroniser les données.
L’ajout d’un deuxième appareil avec Chrome passera par le même cheminement. Simplement, au lieu de créer un compte, connectez-vous à celui existant et choisissez le mode de synchronisation initiale, logiquement le remplacement des données locales par les données du serveur ou une fusion des deux bibliothèques.
La reconfiguration de Xmarks nécessite d’aller dans ses options, disponibles dans le menu « Extensions ». Pour y aller, ouvrez le menu Chrome (icône de clé à molette), puis « Outils » et « Extensions ». Descendez la liste jusqu’à « Xmarks Bookmarks Sync » puis le lien « Options » sous la description.
Pour supprimer l’extension, effectuez un clic droit sur l’icône Xmarks à côté de la barre d’adresses. Un bouton « Supprimer de Google Chrome » vous permet, sans redémarrage, de vous débarrasser de l’extension inutile. Cela ne supprime pas pour autant le compte ni les fonctions de consultation en ligne propres au service, hébergé en ligne.
Consulter les marque-pages en ligne et supprimer son compte Xmarks
À noter qu’il est possible d’utiliser à la fois le système de sauvegarde intégré au navigateur et Xmarks. Cela produira une sauvegarde double de vos marque-pages, en plus de la version locale stockée directement dans votre navigateur. Si vous désinstallez l’extension, vous reviendrez simplement à une gestion manuelle de vos préférences, séparées par navigateur.

Vous pouvez consulter en ligne les marque-pages enregistrés sur le service, peu importe votre localisation ou votre appareil. À l’adresse my.xmarks.com, il suffit d’entrer votre nom d’utilisateur et votre mot de passe pour accéder à l’ensemble de votre bibliothèque, voire la gérer en ajoutant, supprimant et éditant les liens et dossiers. Ces modifications seront reportées sur vos navigateurs à leur prochain démarrage.
Se désinscrire du service est également simple. Allez sur le site officiel et identifiez-vous par le formulaire « Log In » en haut de la page. Allez ensuite sur la page « My Account » à partir du même menu. Là, explorez la liste « Account Options » dans le menu de droite puis cliquez sur la dernière entrée « Supprimer le compte ». Sur la page de confirmation, validez avec le bouton bleu « Delete Account ». Toutes vos données en ligne seront supprimées. Les copies locales de votre historique, de vos marque-pages et d’autres éléments synchronisés sont conservées. Vous devrez donc les supprimer à la main si vous le souhaitez, à partir des bibliothèques de chaque navigateur.

Chrome Astuces Pratiques

Chrome : faire une capture d'écran d'une page Web complète

Les pages Web sont remplies d’éléments qui nous attirent l’œil, nous amusent ou nous attirent. Il n’est pourtant pas simple de conserver ces éléments simplement. La méthode la plus aisée est d’effectuer une capture d’écran avec le système puis d’extraire l’espace concerné. L’opération se complique nettement quand il s’agit de capturer l’ensemble d’une page, dans toute sa hauteur. Une extension Chrome, développée par Google, permet de passer outre ces limites et de sauvegarder l’image d’un site Web en quelques clics.
Utiliser l'extension Chrome Capture d'écran
L’extension Capture d’écran, téléchargeable sur le Chrome Web Store, est installable en cliquant sur le bouton « Ajouter à Chrome » en haut de page puis en validant la nouvelle fenêtre avec le bouton « Installer ». Une nouvelle icône représentant deux clichés apparaît à côté de la barre d’adresse. Rendez-vous maintenant sur la page que vous souhaitez capturer puis cliquez sur l’icône, choisissez l’option qui vous convient, par exemple la capture de page entière. Une fois la capture effectuée, un nouvel onglet s’ouvre avec quelques outils d’édition. Cliquez enfin sur « Enregistrer » pour finaliser la capture.

 Chrome to Phone : partager des liens entre PC et smartphone Android


Avec Chrome to Phone et Fox to Phone, l'envoi de liens d'un ordinateur vers un smartphone est des plus facile. Nos appareils ont beau converger, le partage rapide d’éléments aussi simples qu’un lien entre plusieurs tenait toujours de l’astuce : copie dans un fichier texte, envoi à soi-même par e-mails… Les solutions sont nombreuses mais atteignent peu souvent l’élégance d’un simple clic que permet une solution intégrée. Sur Android, Google fournit un moyen rapide de partager des liens et de les ouvrir dans l’application adaptée, en quelques clics. La solution est d’ailleurs compatible avec Mozilla Firefox et Google Chrome, au travers de deux extensions.
La première étape est l’installation sur le téléphone. Rendez-vous sur le magasin d’applications officiel d’Android, le Google Play Storehttps://play.google.com/store/apps/details?id=com.google.android.apps.chrometophone&hl=fr, pour installer l’application Chrome to Phonehttps://play.google.com/store/apps/details?id=com.google.android.apps.chrometophone&hl=fr développée par Google. Une fois l’application installée, ouvrez-la depuis la notification en haut d’écran. Une présentation des fonctions apparaît. Appuyez sur « Suivant » pour arriver sur l’écran de sélection du compte.
Installer Chrome to Phone sur Android
Chrome to Phone passe par votre compte Google pour faire transiter les liens entre les appareils. Choisissez le compte qui vous convient, de préférence celui lié à l’appareil, donc aux autres applications Google. Cliquez sur « Suivant » pour activer la synchronisation. Validez l’avertissement (en vérifiant que la case est bien cochée) pour autoriser l’accès à votre compte.
Sélectionnez enfin le mode d’ouverture des liens : automatique et manuel. En mode automatique, ils sont ouverts dès réception. Dans certains cas, cela signifie l’ouverture d’une fenêtre de choix d’application (Google Maps pour un lien Maps ou YouTube pour un lien vers une vidéo…). En mode manuel, une notification apparaît dans la barre dédiée, en attendant d’être ouverte. Le choix de l’application s’effectue également au moment de cette ouverture.
Si vous n’êtes pas certain, préférez le mode manuel, pour plus de sécurité. En cas d’utilisation de votre compte par un tiers malveillant, l’ouverture automatique est un moyen aisé de vous diriger vers un contenu malicieux.
Installer Chrome to Phone sur Google Chrome
La partie PC fonctionne, sous Google Chrome, à travers une extension « Chrome to Phone », téléchargeable sur le Chrome Web Store. En haut de la page, cliquez sur « Ajouter à Chrome ». Une nouvelle fenêtre s’ouvre. Validez avec le bouton « Ajouter ». Une nouvelle icône est apparue à droite de la barre d’adresse, représentant un téléphone. Cliquez dessus pour ouvrir une notification puis cliquez sur le lien « Connexion ». Le site Google vous demande d’autoriser l’application par le bouton « Autoriser l’accès ». Vous êtes désormais authentifié. Cliquez une dernière fois sur l’icône de transmission pour envoyer le lien vers le téléphone.

Sur Firefox, l’extension Fox to Phone est téléchargeable directement sur le catalogue d’applications de Mozilla. Cliquez sur le bouton « Ajouter à Firefox » (qui apparaît au bout de quelques secondes) puis sur le bouton « Installer maintenant » dans la fenêtre qui s’ouvre par la suite. Redémarrez enfin le navigateur.
Une nouvelle icône « tête d’Android » est placée à côté de la barre de recherche. Cliquez dessus pour déclencher un premier envoi. Une nouvelle page s’ouvre pour que vous autorisiez l’utilisation de votre compte. La page est connectée au compte Google ouvert dans le navigateur, qui doit être le même que celui sélectionné sur Android, à ce moment. L’application est autorisée pour ce navigateur et le lien est envoyé sur votre smartphone ou tablette Android.

Protéger votre vie privée
Par défaut, Chrome to Phone enregistre un historique de l’ensemble des liens reçus par l’appareil. Vous pouvez effacer les entrées sauvegardées sur le téléphone une fois sur la page d’historique. Cliquez sur le bouton Menu puis « Tout effacer ». L’opération est à renouveler pour tout nouveau lien ou régulièrement si vous l’utilisez souvent. Pour effacer l’ensemble des données et désactiver la réception, appuyez sur le bouton Menu puis « Paramètres ».
Dans le menu de réglages, appuyez sur le bouton « Déconnecter le téléphone » pour l’enlever du circuit de réception. À noter que vous pouvez utiliser simultanément plusieurs appareils (smartphones et tablettes), qui recevront tous les notifications, chacun avec son historique à gérer.